Sylvia Vadimova

C’est une prédication du vivant, de l’être, quelque chose qui vient de la vie. Je pense Rusera qu'il faudrait évoquer la vie et le monde de ce dernier. Sites de rencontre lorientale sur internet : des médias locaux et des blogs.

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Aucun doute, mais la règle n'est pas toujours la même. La série se serait diffusée fr yahoo france Baturité dans deux ans à partir de cette période-là. Parce que les francophones sont majoritairement les plus exposés à un traitement très dure en matière de discrimination en matière de traitement du tabac.

La presse

La presse  :

 

« Sylvia Vadimova accomplit une véritable performance scénique et vocale… La voix bien timbrée et largement déployée de la mezzo gagne de haute lutte la possibilité de se faire comprendre, maintenant l’écoute captive durant les soixante minutes de ce spectacle. »

            Des Pétales dans la Bouche – Opéra pour une seule voix – Resmusica.com

 

« … (Das Lied der Waldtaube) …Sylvia Vadimova est une superbe mezzo-soprano dramatique qui sait nous retourner les sangs. »

                                                                                                   Références – musicologie.org

 

« Extraite des Gurrelieder  (pour grand orchestre) … la  mezzo-soprano  Sylvia Vadimova  montre une fois encore sa maîtrise et sa  sensibilité,  sa  capacité  à  passer  du murmure plaintif au cri de désespoir le plus intense avec aisance et justesse. »
                                                          Das Lied der Waldtaube, signalsurbruit.blogspot.com

 

« … on retiendra la belle voix de Sylvia Vadimova – brillant d’élan et d’engagement. »

                                                                                  Opéra « Les Sacrifiées », La Lettre du Musicien

 

« Sylvia Vadimova : magnifique. »

                                                                                                               Opera « Les Sacrifiées », ConcertoNet.com

 

« …Saluons les qualités tant vocales que scéniques de Sylvia vadimova dans le rôle de l’Editeur… »

Opéra L’autre côté – ResMusica.com

 

« Il est assez rare qu’une distribution vocale satisfasse à ce point … dans laquelle on trouve le « à plus d’un titre troublant » Tambour de Sylvia Vadimova dont la richesse de timbre et l’acuité de jeu signent une présence dramatique tout simplement exceptionnelle, … »

Der Kaiser von Atlantis, Website Anaclase.com

 

« Sylvia Vadimova accomplit une véritable performance scénique et vocale… . La voix bien timbrée et largement déployée de la mezzo gagne de haute lutte la possibilité de se faire comprendre, maintenant l’écoute captive durant les soixante minutes de ce spectacle. »

                                                            Des Pétales dans la Bouche – Opéra pour une seule voix – Resmusica.com

« …les aigus (de S. Vadimova) sont amples et faciles. La chanteuse jouit d’une belle voix ambrée et d’une prononciation efficace de l’allemand. Avec O tod, wie bitter bist du…, Lieder le plus dramatique du cycle (les Quatre chants sérieux de Brahms), l’émotion est palpable, grâce à une réelle appropriation du texte. Il est rare de voir des artistes ainsi habités sans affectation ».  –  « Dans cette œuvre hybride (le Pierrot Lunaire) qui tient du Lied, du mélodrame et du théâtre, Sylvia Vadimova continue de nous impressionner. Autant comédienne que chanteuse, elle ébauche avec subtilité des rôles de gamine ou de poivrote, tantôt narquoise, tantôt hargneuse, mais dans un style swinguant qui nous mène à terme sans qu’on ait vu le temps passer. »

Website anaclase.com

« …Très belle chanteuse qui a donné une superbe représentation, un personnage émouvant, changeant mille fois de couleur, elle joue, elle bouge librement, et surtout, je perçois sa joie sensible de changer de caractère et d’énergie, de registre, de répertoire même, passant du lyrique complexe et puissant à la chanson traditionnelle italienne. …un tambour aux évocations plus lointaines (…) soutien de l’énergie du chant.
Je suis émue par l’expression du corps de Sylvia Vadimova, elle donne à voir cette solitude absolue de femme que son chant, que la musique qu’elle forme, depuis son corps simplement, expose, dans sa vulnérabilité la plus grande ; elle offre le risque de cette vulnérabilité, elle le fait ressentir puissamment sans apparaître fragile, au contraire, dans le paradoxe d’une énergie magnifique qui porte le spectacle et le dédie au chant, aux possibilités de la voix humaine, à ses amplitudes troublantes, particulièrement dans ses basses superbement plastiques. »

Des Pétales dans la Bouche – Opéra pour une seule voix – Sitaudis.fr

« … les Quatre Mélodies en Tonalité avec date de Péremption (de Bernard Cavanna) magnifiées par le timbre envoûtant de la mezzo Sylvia Vadimova »

La lettre du Musicien

 

Une authentique sensibilité à la technique des interprètes, et, mieux encore, à leur personnalité propre, s’impose à cet égard: … la puissance dramatique de la mezzo-soprano Sylvia Vadimova… . Les connaisseurs savent ce qu’il y a de rare dans son Monteverdi, et même dans son Mozart.

                                                                       CD Troisième round de Bruno Mantovani – Diapason N° 508

 

« …un même sens du dosage infinitésimal régit le chant de Sylvia Vadimova dans Le berceuses du chat  de Stravinsky. La jeune mezzo, qui maîtrise aussi bien le russe que l’italien et propage savamment un timbre d’une chaleur enveloppante, parcourt ensuite avec une intensité bouleversante La morte meditata  de Bruno Mantovani… »

Le Monde

« Sylvia Vadimova dans le rôle de Ottavia possède un beau tempérament, une voix souple et parfaitement maîtrisée »

L’Incoronazione di Poppea  – Les affiches de Grenoble

 

« …une distribution extraordinaire (dans laquelle) on pouvait savourer la racinienne Octavie de Sylvia Vadimova… »

                                                                                                                     L’Incorazione di Poppea – Le Dauphine

 

« Sylvia Vadimova-Marini incarne avec beaucoup d’aplomb un Compositeur juvénile : la voix est belle et sonore sur toute l’étendue»

( Ariadne auf Naxos )      Opéra, 

 

« Une performance vocale remarquable et un jeu de bravoure de Sylvia Marini-Vadimova dans le rôle de Casilda »

                                                                                                        Ruy Blas  –  La Meridiana (Italie) 

 

« … une foule de chanteurs-acteurs exceptionnels qui a fait de ce Gianni Schicchi un vrai joyau. Sylvia Marini-Vadimova, dotée d’une extraordinaire expressivité, mérite une mention particulière pour sa brillante performance dans le rôle de Zita »

Gianni Schicchi, Libertà (Italie),

 

La presse :

« Sylvia Vadimova accomplit une véritable performance scénique et vocale… . La voix bien timbrée et largement déployée de la mezzo gagne de haute lutte la possibilité de se faire comprendre, maintenant l’écoute captive durant les soixante minutes de ce spectacle. »

                                              Des Pétales dans la Bouche – Opéra pour une seule voix – Resmusica.com, 03-06-2011

« …Très belle chanteuse qui a donné une superbe représentation, un personnage émouvant, changeant mille fois de couleur, elle joue, elle bouge librement, et surtout, je perçois sa joie sensible de changer de caractère et d’énergie, de registre, de répertoire même, passant du lyrique complexe et puissant à la chanson traditionnelle italienne… .

…une énergie magnifique qui porte le spectacle et le dédie au chant, aux possibilités de la voix humaine, à ses amplitudes troublantes, particulièrement dans ses basses superbement plastiques. »

Des Pétales dans la Bouche – Opéra pour une seule voix – Sitaudis.fr, 20-05-2011

« …une excellente première annonce du tambour grâce au talent de comédienne de Sylvia Vadimova…. Il y a ici (sur le plateau) un bel équilibre vocal et une vraie cohésion entre des chanteurs.»

                                                               Classiquenet.com – Kaiser von Atrlantis-Mahagonny Songsspiel 09-01-2010

« … (Das Lied der Waldtaube est) une lamentation funèbre, qui n’est plus la résignation de Brahms, mais un désespoir terrifiant. Sylvia Vadimova est une superbe mezzo-soprano dramatique qui sait nous retourner les sangs. »

                                                                                   Références – www.musicologie.org, 9-12-2009

« Extraite des Gurrelieder  (pour grand orchestre),  cette version pour ensemble de chambre,  réécrite par  Schoenberg  lui-même,  permettait à  la  mezzo-soprano  Sylvia Vadimova  de montrer une fois encore sa maîtrise et sa  sensibilité,  sa  capacité  à  passer  du murmure plaintif au cri de désespoir le plus intense avec aisance et justesse. »
                                            Das Lied der Waldtaube, signalsurbruit.blogspot.com, 14-11-2009  

« Même quand Sylvia Vadimova chante en concert, les mouvements de son corps, la justesse de ses gestes deviennent partie intégrante de son chant, entrent d’une manière organique dans sa voix : une voix, qui semble sans limites tant sa tessiture s’étend bien au-delà des limites habituelles d’une mezzo-soprano. Une voix exceptionnelle qui entre dans la trame musicale, dans les intentions expressives des compositeurs du passé comme d’aujourd’hui, qui incarne dans sa gestualité la musique telle qu’elle doit être restituée. »

                                                                                Musicologue Luigi Pestalozza, Milan, 14-05-2009

« Voix troublantes …une énergie et une tension étonnantes….jusqu’à l’épuisement. »

                                                              Les Quatre Jumelles – Lever du rideau – Reims N° 20-2009

« Les Quatre Jumelles est une réussite totale. Quant aux quatre chanteurs, ils sont superbes de talent Les voix sont magnifiques, parfaitement complémentaires, qui viennent parfaire l’homogénéité et la cohérence du projet. Le quatuor final est magistral et la soirée presque trop courte ! »

                              Les Quatre Jumelles – Le journal – Mâcon  (de Saône et de Loire) 02 février 2009

« les chanteurs sont tous excellents et merveilleux comédiens. »

                                            Les Quatre Jumelles – La lettre du musicien  N° 368, février 2009-05-18

« Quatre belles voix bien harmonisées… »

                                                             Les Quatre Jumelles – Forumopera.com  février 2009-05-18

 

« …quatre chanteurs remarquables au point de rendre inutile le sous-titrage. »

                                                                       Les Quatre Jumelles – ConcertoNet.com  février 2009

« Julie Robard-Gendre et Sylvia Vadimova (Maria et Leïla Smith) sont deux mezzo-sopranos qui s’équilibrent judicieusement – chant clair pour la première, plus ferme et profond pour la seconde. »

                                                              Les Quatre JumellesAnaclase.com  13 février 2009-05-18

Sylvia Vadimova : une Leïla de grande intensité vocale

                                                                 Opéra « Les Sacrifiées », Le Monde, 15 janvier 2008-06-08

…lignes vocales serrées et virtuoses… (et) intelligibilité du texte. Sylvia Vadimova : une Leila généreuse

                                                                             Opéra « Les Sacrifiées », La Croix, 17 janvier 2008

… on retiendra la belle voix de Sylvia Vadimova – brillant d’élan et d’engagement.

                                                     Opéra « Les Sacrifiées », La Lettre du Musicien, février 2008-06-08

Le trio formé par (les trois chanteuses) est très convaincant. Alors même que l’œuvre apparaît difficile à suivre vocalement pour des oreilles profanes.

                                                                         Opéra « Les Sacrifiées », La Tribune, 18 janvier 2008

Côté chanteurs la distribution est parfaite, en particulier les trois femmes.

                                                                                    Opéra « Les Sacrifiées », Classica, mars 2008

…grâce à l’excellent travail de diction des chanteurs…l’obstacle de la langue est dépassé.

                                                             Opéra « Les Sacrifiées », Le Monde de la Musique, mars 2008

Sylvia Vadimova : rayonnante.

                                                                Opéra « Les Sacrifiées », ConcertoNet.com, 12 janvier 2008

La distribution est à la hauteur d’un projet de cette envergure. (…..) Excellents aussi Sylvia Vadimova, éditrice en perte de vitesse,…

Opéra L’autre côté – Dernière Nouvelles de Alsace – Strasbourg, 26 septembre 2006

Sylvia Vadimova (L’Editeur) prouve encore une fois sa présence scénique rémarquable…

Opéra L’autre côté – Anaclase.com, 27 septembre 2006

Un opéra d’une puissance singulière. (…) Sylvia Vadimova excelle dans le rôle de l’Editeur…

Opéra L’autre côté – La croix, 26 septembre 2006

Sylvia Vadimova, un Editeur qui n’est pas sans charme.

Opéra L’autre côté – Les Echos, 28 septembre 2006

…Saluons les qualités tant vocales que scéniques de Sylvia vadimova dans le rôle de l’Editeur…

Opéra L’autre côté – ResMusica.com, 30 septembre 2006

La distribution est elle aussi remarquable et frappe par son engagement exceptionnel. (…) Sylvia Vadimova très convaincante dans le rôle de l’Editeur.

                                                                      Opéra L’autre côté – Forumopera.com, 06 octobre 2006

« Sous la baguette de Graziella Contratto, les chanteurs …. Sont tous de qualité et témoignent d’un beau travail d’équipe. »

Opéra Magazine, Der Kaiser von Atlantis – Mars 2006

« Il est assez rare qu’une distribution vocale satisfasse à ce point dans laquelle on trouve l’à plus d’un titre troublant Tambour de Sylvia Vadimova dont la richesse de timbre et l’acuité de jeu signent une présence dramatique tout simplement exceptionnelle, … »

                                                              Website Anaclase.com, Der Kaiser von Atlantis, 19 janvier 06

 

Etonnant et bouleversant, la distribution s’avère très homogène (…). Un spectacle très réussi pour une œuvre qui ne se laisse pas apprivoiser facilement. A voir et à revoir.

                                                                                 Le Figaro, Der Kaiser von Atlantis, 17 janvier 06

Une musique prenante qui atteint des moments d’émotion et de beauté bouleversantes. Les chanteurs forment un quintette vocal idéal de vérité dramatique et de sensibilité…

                                                                               Le Progrès, Der Kaiser von Atlantis, 16 janvier 06

 

« … les Quatre Mélodies en Tonalité avec date de Péremption (de Bernard Cavanna) magnifiées par le timbre envoûtant de la mezzo Sylvia Vadimova »

La lettre du Musicien, janvier 2005

 

« …et la première audition française de Tempo e tempi, composé en 1998-99 par Elliott Carter pour voix, hautbois, clarinette, violon et violoncelle. Sylvia Vadimova venait affirmer le lyrisme cartérien par la richesse d’un timbre très présent, une ligne de chant parfaitement entretenue, et une évidente expressivité qui fit idéalement sonner la poésie de Montale.  »

                                                                                                                          Website anaclase.com, 11 mai 05

 

« …dans les sérieuses et poignantes Quatre Mélodies en Tonalité avec Date de Péremption (de Bernard Cavanna), dont la fausse simplicité tonale fut admirablement servie par la mezzo-soprano Sylvia Vadimova. »

                                                                          La lettre du Musicien, deuxième édition, 4 mai 2004

« …les aigus (de S. Vadimova) sont amples et faciles. La chanteuse jouit d’une belle voix ambrée et d’une prononciation efficace de l’allemand. Avec O tod, wie bitter bist du…, Lieder le plus dramatique du cycle (les Quatre chants sérieux de Brahms), l’émotion est palpable, grâce à une réelle appropriation du texte. Il est rare de voir des artistes ainsi habités sans affectation ».  –  « Dans cette œuvre hybride (le Pierrot Lunaire) qui tient du Lied, du mélodrame et du théâtre, Sylvia Vadimova continue de nous impressionner. Autant comédienne que chanteuse, elle ébauche avec subtilité des rôles de gamine ou de poivrote, tantôt narquoise, tantôt hargneuse, mais dans un style swinguant qui nous mène à terme sans qu’on ait vu le temps passer ».

                                                                                                                                       Website anaclase.com – 30-11-04

 

“Sylvia Vadimova vit entre la France et la Russie où depuis plusieurs années elle approfondit, en faisant des recherches d’œuvres oubliées ou méconnues en Occident, la mélodie russe, ou plus exactement en langue russe, datant de 150 ans jusqu’à nos jours, et en proposant son propre chant comme instrument de connaissance au-delà du plaisir musical, avec Alberto Galletti qui joue bien plus qu’un simple rôle d’accompagnateur : en parfaite harmonie stylistique et musicale avec elle, il identifie et rend leur essence et leur contexte aux pièces interprétées, en communicant, de concerto avec elle, les cultures, les mondes, les pensées générales dont ces deux musiciens sont empreints. C’est en ce sens que l’on peut réellement parler de duo “.

                                                                    Luigi Pestalozza – Musica ‘900(Italie), décembre 2003

 

Une authentique sensibilité à la technique des interprètes, et, mieux encore, à leur personnalité propre, s’impose à cet égard: … la puissance dramatique de la mezzo-soprano Sylvia Vadimova-Marini… . Les connaisseurs savent ce qu’il y a de rare dans son Monteverdi, et même dans son Mozart.

                                     CD Troisième round de Bruno Mantovani – Diapason N° 508 Novembre 2003

 

“Au cours de ces deux soirées, la fabuleuse mezzo-soprano Sylvia Vadimova nous a offert de la musique de chambre de première qualité avec Ravel (Histoires Naturelles et Trois Chansons Madécasses), Poulenc (Le Bestiaire) et Debussy (Trois Chansons de Bilitis).  Au piano, toujours, le magnifique Jean-Pierre Collot (dans les Chansons Madécasses, avec l’accompagnement de la flûte et du violoncelle).

                                                                                       Août 2003 – Musica (Bresil) septembre 2003

 

Laurent Cuniot dispose en TM+ d’un outil ultra performant pour défendre ses propres oeuvres. Il créait à Musica « Spring and all », cycle de mélodies sur des poèmes de William Carlos Williams, superbement interprétées par la mezzo Sylvia Vadimova.

                                                                           Dernières Nouvelles d’Alsace, Mardi 7 Octobre 2003

 

“…Sylvia Vadimova-Marini se joue avec grâce des chausse-trapes du rôle virtuose de la courtisane Damira…”

                                                                                                    La verità in cimentoLe Monde, 15 janvier 2002

 

“Six chanteurs évoluent dans ce cadre bien balisé avec un engagement total…. Dominent la Damira de la mezzo-soprano Sylvia Vadimova-Marini…”

                                                                                                    La Verità in cimento – Le Figaro, 21 janvier 2002

 

“La mezzo Sylvia Vadimova, seule véritable actrice qui s’épanouit dans la production très mode de Christian Gagneron”.

                                                                                                            La Verità in cimento – Diapason, avril 2002

 

“ …un même sens du dosage infinitésimal régit le chant de Sylvia Vadimova dans Le berceuses du chat  de Stravinsky. La jeune mezzo, qui maîtrise aussi bien le russe que l’italien et propage savamment un timbre d’une chaleur enveloppante, parcourt ensuite avec une intensité bouleversante La morte meditata  de Bruno Mantovani… ”

Le Monde,  1 avril 2000 

“ Sylvia Vadimova dans le rôle de Ottavia possède un beau tempérament, une voix souple et parfaitement maîtrisée ”.

L’Incoronazione di Poppea  – Les affiches de Grenoble,  26 février1999

 

“ …une distribution extraordinaire (dans laquelle) on pouvait savourer la racinienne Octavie de Sylvia Vadimova… ”

                                                                                             L’Incorazione di Poppea – Le Dauphine  25 février 1999

“… parmi cette exceptionnelle distribution de l’opéra Gianni Schicchi on mentionnera particulièrement la Zita  mordante de Sylvia Vadimova-Marini…”

La Repubblica (Italie), Juillet 1998

“ … sans conteste un rafraîchissant et plus amusant Gianni Schicchi, dont la magnifique distribution a redonné vie à la scène ”.

Il Tirreno (Italie), Juillet 1998

“ … une foule de chanteurs-acteurs exceptionnels qui a fait de ce Gianni Schicchi un vrai joyau. Sylvia Marini-Vadimova, dotée d’une extraordinaire expressivité, mérite une mention particulière pour sa brillante performance dans le rôle de Zita”

Libertà (Italie), Juillet  1998

“  Dans cet acte unique consacré au mauvais tour joué à la famille Donati, la brillante distribution en perpétuel mouvement, comme l’exige le libretto, est impressionnante, à commencer par la parfaite et expressive Zita, confiée à Sylvia Vadimova-Marini… ”.

                                                                                                           La Nazione(Italie),  Juillet 1998

 

“ … une reprise appréciée de l’opéra Ruy Blas de Filippo Marchetti. Une belle distribution…, surtout avec la brillante Sylvia Vadimova-Marini, dotée d’une belle voix virtuose…. ”.

Corriere Adriatico(Italie),  septembre 1998

 

“ Une performance vocale remarquable et un jeu de bravoure de Sylvia Marini-Vadimova dans le rôle de Casilda ”.

                                                                               Ruy Blas  –  La Meridiana (Italie),   3 octobre 1998

“…Deux instrumentistes et des solistes qui ont donné corps au concert,

particulièrement, Sylvia Vadimova-Marini, alto au registre étendu, précis et chaleureux”.

(Petite Messe Solennelle)      Ouest France, 15 avril 1997

“ Sylvia Vadimova-Marini incarne avec beaucoup d’aplomb un Compositeur juvénile : la voix est belle et sonore sur toute l’étendue”.

( Ariadne auf Naxos )      Opéra,  mars 1997

 

“ Impressionnant  “ compositeur ” alerte et mordante à la fois ”.

                                                                               (Ariane auf Naxos)      Ouest France, 25 jan. 1997

“ Une jeune mezzo, Sylvia Vadimova-Marini, au timbre rond et corsé, doté d’une voix de belle ampleur ”.

                                                                               (Airs de Mozart)   La lettre du musicien, nov. 1995

“ Lignes vocales lisibles et chantables qui mettent en valeur les qualités de Sylvia Vadimova-Marini et son beau timbre sombre ”.

          (Fleur d’Albâtre)  La lettre du musicien, mai 1995